Un jour, j’ai compris notre liberté face à la création : ce fut une révélation, qui m’a libérée des contraintes que je m’étais imposées dans mon approche picturale.
Envie de découper la toile ? Envies de déchirer, de trancher, de recomposer ou de tresser, d’y introduire d’autres fragments : raphia, tarlatane, ficelles... Ou même filets de sacs à pommes de terre…
Pourquoi pas ? Allons-y ! Qui a dit : "Quand il y a de la gêne, il n’y a pas d’art" ?
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